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coqueret du Pérou : en bref
Classification de la plante
Le coqueret du Pérou, original et décoratif
Le coqueret du Pérou fait partie de la même famille que la pomme de terre ou la tomate. Il présente de petites cages orange à maturité qui renferment chacune un fruit rond. C’est à la fin de l’été que vous pourrez profiter de ces fruits très décoratifs. Vous pouvez les cueillir et les laisser sécher soit avant que la membrane ne se décompose, soit juste après. Dans ce dernier cas il ne reste que les nervures de la cage et vous voyez apparaître le fruit au centre.
Le coqueret du Pérou craint le froid. Pensez à le protéger en hiver. Si vous habitez dans une région froide, il est préférable de le cultiver en pot que l’on prendra soin de rentrer à l’abri du gel pendant l’hiver. Pensez à bien l’arroser en été, il demande beaucoup d’eau. Vous pouvez disposer des tuteurs si les fruits sont trop lourds. Pour le multiplier, divisez la touffe à la fin de l’hiver.
Un petit fruit miraculeux à consommer avec précaution
Le fruit orange contenu dans la cage est comestible à maturité. Cependant prenez garde à ne pas laisser de touffes de coqueret à porté des enfants car le fuit encore vert contient de la solanine, une molécule toxique.
Sa saveur rappelle celle de la groseille à maquereau, raison pour laquelle le coqueret du Pérou est surnommé groseille du Cap. Ce fruit est particulièrement riche en vitamines A, C et E. Il contient aussi de nombreux antioxydants ainsi que des acides gras essentiels. Il soigne notamment les infections urinaires ainsi que les maux de gorge. Bref, il constitue un bon allié de la santé !
Les confitures que l’on confectionne avec les fruits sont excellentes. On utilise aussi le physalis en tartes, en confiserie ou encore en pâtisserie.
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